Emballages alimentaires

Les emballages alimentaires occuperaient la première part du marché mondial de l’emballage.1 Des sacs d’emplettes aux aliments emballés, voire suremballés en passant par les contenants de repas prêt-à-manger, plusieurs types d’emballages sont utilisés par l’industrie et la plupart sont en plastique et à usage unique. D’autres matériaux comme le papier, le carton, le métal et le verre sont également utilisés pour leur conception et plus du deux tiers sont consacrés à l’industrie alimentaire.2 Ces emballages constituent un impact non négligeable dans la gestion des matières résiduelles, vu leur nombre important, leur courte durée de vie et la difficulté de recyclage de certaines matières qui les composent. Avec un total annuel de 382 430 tonnes de déchets plastiques n’incluant pas les bouteilles de boissons, les épiceries font partie des sept secteurs qui génèrent le plus de déchets plastiques à usage unique au Canada.3 Les emballages de produits alimentaires en fin de vie représenteraient un tiers des déchets ménagers au Canada.4

1. Types d’emballages alimentaires

L’emballage alimentaire sert avant tout à protéger la nourriture, à conserver sa qualité. Vu sous cet angle, il permet de réduire ou d’éviter les pertes ou gaspillage alimentaire. Dans les pays en développement par exemple, près de la moitié de la nourriture est perdue ou gaspillée en raison de mauvaises techniques de conservation des aliments, dont l’emballage inadéquat.5 Trois types d’emballages sont identifiés dans le secteur de l’alimentation : l’emballage primaire, l’emballage secondaire et l’emballage tertiaire. Chacun de ces types d’emballages a des fonctions plus ou moins distinctes.6

C’est l’emballage qui est en contact direct avec le produit et permet ainsi de le protéger. C’est le type d’emballage qui est le plus souvent présenté au consommateur et constitue l’unité de vente la plus petite. Il fournit différentes informations telles que la composition du produit et la date de péremption. Il a aussi une fonction de marketing; il est conçu de manière à attirer l’attention du consommateur. Exemple : la boîte de pâte, la pinte de lait, le contenant de détergent en plastique, etc.

Il permet de regrouper plusieurs emballages primaires pour faciliter ainsi le stockage, la manipulation et le transport des produits. Il s’agit généralement de boîte en carton ou d’autres matériaux, mais aussi de film en plastique. À l’image de l’emballage primaire, il fait la promotion du produit à travers les différentes informations qui y sont inscrites. Exemple : film de plastique regroupant les bouteilles d’eau, boîte en carton regroupant les conserves de tomates, etc. lage qui est en contact direct avec le produit et permet ainsi de le protéger. C’est le type d’emballage qui est le plus souvent présenté au consommateur et constitue l’unité de vente la plus petite. Il fournit différentes informations telles que la composition du produit et la date de péremption. Il a aussi une fonction de marketing; il est conçu de manière à attirer l’attention du consommateur. Exemple : la boîte de pâte, la pinte de lait, le contenant de détergent en plastique, etc.

Il s’agit d’un emballage de plus grande dimension qui rassemble les emballages secondaires et primaires permettant ainsi le transport et l’entreposage de la marchandise. C’est l’emballage qui arrive dans les entrepôts. En général, il se présente sous forme de palettes de différents matériaux, de boîtes en carton rigide, conteneurs ou tout autre élément permettant de regrouper la marchandise et d’assurer la stabilité des produits et leur transport. Dans le cas des pâtes, l’emballage primaire serait la boîte de pâte qui correspond à une unité de vente, l’emballage secondaire correspondrait au carton qui regroupe plusieurs unités de vente et l’emballage tertiaire serait la palette qui regroupe plusieurs cartons.

2. Problématique environnementale des emballages alimentaires

La quantité d’emballages utilisés dans l’industrie alimentaire ne cesse de croître en raison des changements dans les façons de préparer et de consommer la nourriture ainsi que la création de nouveaux marchés à l’échelle mondiale.2

Les matières utilisées pour la conception des emballages posent également problème. La très grande utilisation des plastiques dérivés d’hydrocarbures dans la conception des emballages, les effets de l’extraction de l’aluminium sur l’environnement avec les émissions de perfluorocarbures ou de dioxyde de soufre et la consommation d’énergie lors de leur fabrication remettent en question leur utilisation.7

Les emballages ne sont plus seulement utilisés pour leurs fonctions de base. L’emballage inutile et le suremballage des denrées alimentaires constituent de réels enjeux pour les ressources naturelles et la gestion des matières résiduelles. Bien que sa contribution à la lutte contre le gaspillage alimentaire soit reconnue, les emballages d’aujourd’hui sont parfois utilisés d’une manière à favoriser ce gaspillage. Les grandes portions d’aliments emballés sont moins adaptées pour une petite famille ou pour les personnes vivant seules surtout si l’on sait que 18,5% de la population québécoise des 15 ans et plus vivent seuls.8

La réduflation est une pratique qui devient de plus en plus populaire dans l’industrie alimentaire. Il s’agit d’une stratégie commerciale qui consiste à réduire la quantité de produits contenue dans un bien tout en conservant le prix initial. L’emballage est souvent utilisé comme outil pour mettre en œuvre cette pratique. Les trois choix les plus populaires sont les suivants9 :

Dans le premier cas, l’emballage devient surdimensionné et paraît comme du suremballage. Cette pratique, en plus de porter à confusion le consommateur, a un impact écologique non négligeable tant au niveau de la consommation de ressources que sur la gestion des matières résiduelles.

La gestion des emballages alimentaires en fin de vie vient croître leur impact environnemental. La quantité d’emballages en plastique abandonnés dans la nature en fin de vie ne cesse d’augmenter et engendre des effets néfastes sur la biodiversité.5

3. État des lieux au Canada et au Québec

3.1. Au Canada

À l’échelle fédérale, il n’existe pas encore de règlement proprement dit visant la réduction des emballages chez les détaillants en alimentation.10

Un projet de règlement sur le contenu recyclé et les règles d’étiquetage des produits en plastique a été publié le 18 avril 2023 par le Gouvernement du Canada afin de favoriser la réduction des plastiques qui rejoignent les sites d’enfouissement ou qui se retrouvent dans l’environnement en fin de vie. Cependant, ce projet de règlement est plutôt orienté vers le recyclage des emballages que vers la réduction.11 Il exige un pourcentage de contenu recyclé dans les emballages pour assurer leur recyclabilité en fin de vie.

L’avis de planification de la prévention de la pollution (P2) semble constituer le seul outil fédéral ayant pour objectif la réduction des emballages primaires, notamment ceux présents chez les détaillants en alimentation. Un avis P2 établit un certain nombre de conditions pour guider les cibles vers l’innovation et l’adaptation aux changements dans leur secteur afin d’atteindre les objectifs prédéfinis. Il exigerait aux grands détaillants en alimentation de se préparer à des changements dans leur secteur en se dotant d’un plan de prévention de la pollution (plan P2) à l’échelle de la société mère et serait valable pour toutes leurs filiales et franchises.12 Cependant, l’avis P2 est toujours à l’étape de projet et ne constitue en aucun cas une réglementation. Les entreprises concernées ne se trouveraient pas dans une situation de non-conformité si les objectifs de leur plan P2 ne sont pas atteints. Dans ce cas, la seule obligation pour les entreprises cibles serait de fournir les détails de la mise en œuvre de leur plan et de justifier les raisons pour lesquelles les objectifs n’ont pas été atteints.

Bien que la loi canadienne sur les aliments et les drogues interdit la vente de produits avec un emballage trompeur, il n’existe pas encore de réglementation proprement dite qui interdit de manière formelle la réduflation.5

Objectifs, cibles et échéanciers de l'avis P2

ObjectifÉchéancier
Éliminer les emballages inutiles ou problématiques et concevoir pour la circularité2035
Distribuer et vendre des fruits et légumes frais en vrac et/ou dans des emballages sans plastique

Au moins 75% d’ici 2026

Au moins 95% d’ici 2028

Virer vers des emballages primaires réutilisables, recyclables ou compostables100% d’ici 2028
Augmenter le pourcentage de vente de produits dans un système de réemploi-remplissage, de produits exempts d’emballage en plastique, de produits concentrés

20% d’ici 2026

50% d’ici 2030

60% d’ici 2035

Les emballages alimentaires en plastique non réutilisables contiennent du contenu recyclé post-consommation (RPC)

10% d’ici 2028

20% d’ici 2030

30% d’ici 2035

3.2. Au Québec

Le règlement portant sur un système de collecte sélective de certaines matières résiduelles, responsabilise les producteurs sur la gestion en fin de vie des produits qu’ils mettent en marché et qui sont visés par ce règlement. Il s’agit d’une application du principe de la responsabilité élargie des producteurs (REP). Ainsi, les entreprises qui mettent en marché les produits visées par le règlement doivent devenir membres d’Éco Entreprises Québec (ÉEQ) qui est l’organisme de gestion désigné (OGD) par RECYC-QUÉBEC. Ces entreprises vont financer la collecte et le traitement des matières recyclables visés par l’entremise d’ÉEQ. Ce règlement pourrait inciter les producteurs à repenser la conception de leurs emballages en délaissant les matières problématiques et le suremballage et en favorisant l’utilisation de matières recyclables et valorisables pour réduire les coûts associés à la gestion des matières résiduelles.

Au sujet de la réduflation, il n’existe pas encore d’encadrement proprement dit dans le Règlement sur les aliments au Québec mis à part l’exigence d’inscrire le poids exact du produit sur l’emballage. Aucune exigence n’est requise sur la taille de l’emballage par rapport au volume de produits qu’il contient.5

Le Gouvernement du Québec a publié récemment un document consultatif sur la Stratégie de réduction et de gestion responsable du plastique 2024-2029. Dans ce projet, le développement de la vente en vrac constitue une des ambitions du Gouvernement afin de réduire la pollution plastique au Québec. Le Gouvernement prévoit ainsi de travailler avec les détaillants pour mettre en place des stratégies d’adaptation aux différents enjeux liés à la vente en vrac comme la salubrité, la gestion des contenants réutilisables ainsi que les potentiels changements dans la chaîne d’approvisionnement.13

L’offre en vrac constitue une alternative pour réduire les emballages à usage unique dans les commerces de détail. Des commerces spécialisés sont de plus en plus nombreux. Dans le cas des épiceries zéro déchet, les consommateurs ont l’option d’utiliser leurs propres contenants ou des contenants réutilisables consignés proposés par le commerce. Certains grands détaillants en alimentation offrent aussi ce choix à leurs clients pour certains produits comme la viande, la charcuterie, le poisson ou encore les pâtisseries.14 Plusieurs études d’analyse de cycle de vie ont conclu que les options d’emballage réutilisables sont meilleures pour l’environnement que celles à usage unique.15

Encourager les consommateurs à se tourner vers l’achat en vrac à travers l’information, l’éducation et la sensibilisation est une avenue visant à encourager la réduction des déchets issus du suremballage. Cependant, si l’offre en vrac est très limitée, voire inexistante, dans les commerces les plus fréquentés à savoir les épiceries traditionnelles, le choix des consommateurs demeure restreint.

4. Initiatives à l’international

Pour réduire les emballages, il semble nécessaire de mettre en place des stratégies en amont telles que la réduction à la source ou encore l’écoconception.16 En France, la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (AGEC) et la loi climat et résilience visent à favoriser la réduction des emballages en mettant en place certaines mesures auxquelles les commerçants de produits alimentaires doivent se soumettre. Une des mesures de la loi climat et résilience a pour objectif d’élargir l’offre en vrac dans les épiceries de grande superficie. Cette mesure oblige les épiceries de plus de 400 m2 à dédier 20% de leur superficie au vrac.17

Quelques mesures de la loi AGEC en faveur de la réduction des emballages dans les épiceries18

MesureDate d’entrée en vigueur
Possibilité pour les consommateurs d’apporter leurs contenants réutilisables dans les commerces de détail1er janvier 2021
Obligation pour les vendeurs de boissons d’appliquer une tarification plus basse si le consommateur apporte son propre contenant réemployable1er janvier 2021
Obligation pour les commerces de plus de 400 m2 de mettre à la disposition de leurs clients des contenants réutilisables propres.1er janvier 2021
Interdiction du suremballage en plastique des fruits et légumes frais de moins de 1,5 kg1er janvier 2022
Interdiction de coller directement des étiquettes sur les fruits et légumes sauf si ces étiquettes sont compostables et constituées en tout ou en partie de matières biosourcées1er janvier 2022

5. Élargissement de l’offre en vrac

Dans une étude canadienne sur l’intérêt des consommateurs pour le vrac, plus de la moitié des participants ont manifesté leur intérêt pour l’achat en vrac si l’offre leur était proposée dans leurs commerces habituels et sont prêts à payer un peu plus cher que le prix de base. Ces personnes ont justifié leur intérêt pour le vrac par des raisons écologiques, par la possibilité de se procurer uniquement la quantité de produits souhaitée et par des raisons liées à la santé. Certaines d’entre elles étaient prêtes à apporter leurs propres contenants et d’autres seraient intéressées à utiliser des contenants consignés fournis par le commerce. L’inaccessibilité des produits en vrac, le manque d’information, les raisons sanitaires sont les arguments formulés par les participants qui n’étaient pas encore prêts à adopter le vrac.19

Une autre étude du côté des distributeurs démontre de la réticence à l’offre en vrac de la part de ces derniers pour des raisons liées au comportement des consommateurs, des doutes par rapport aux effets positifs du vrac dans une perspective d’analyse de cycle de vie, des inquiétudes sur la faisabilité du zéro déchet, la capacité de changements de l’industrie, les doutes liés à l’hygiène du vrac.15

6. Pistes de solution

Des solutions visant à encourager la réduction des emballages et le développement des produits en vrac dans les épiceries sont proposées dans la littérature.

La définition de cadres législatifs et réglementaires clairs sur les pratiques zéro déchet, l’offre de soutien logistique et financier à l’industrie et le développement des circuits courts sont considérés comme des moyens pouvant favoriser la réduction des emballages dans les commerces d’alimentation.

Une réglementation traitant de la réduflation est également mentionnée pour mieux encadrer les restrictions en termes d’emballage et de suremballage au sein de l’industrie alimentaire.

Une autre piste repose sur des prix incitatifs. Elle consiste à fixer un prix plus élevé pour les produits vendus dans des emballages à usage unique et ainsi proposer les produits en vrac à des prix attractifs visant à susciter l’intérêt des consommateurs.

La sensibilisation est également soulevée comme un moyen à prendre en compte. Pour cela, il serait intéressant de mieux vulgariser l’information sur les bienfaits du vrac sur l’environnement avec l’approche d’analyse de cycle de vie.19

L’influence des producteurs et des détaillants constitue une avenue à ne pas négliger pour favoriser la réduction des emballages. En effet, leur engagement envers le développement durable pourrait inciter les consommateurs vers des choix plus durables. Dans une étude sur l’intérêt des consommateurs pour les produits alimentaires avec des emballages durables, l’influence des producteurs et détaillants est ressortie comme le deuxième facteur le plus important. Les consommateurs accordent de plus en plus d’importance aux pratiques de responsabilité sociétale des entreprises notamment en termes de réduction des déchets.20

Dans le cas où l’emballage est indispensable, il faudrait appliquer la hiérarchie des 3R : réduction à la source, réemploi et recyclage pour réduire au maximum son impact. C’est-à-dire réduire la quantité de matière et d’énergie lors de la conception, faire en sorte qu’elle soit réutilisable et recyclable en fin de vie.16

Une des recommandations d’Oceana Canada à travers son rapport de 2023 sur la pollution plastique concerne la réduction des emballages dans les épiceries en faisant revenir les systèmes de remplissage dans les magasins et en y effectuant un retrait de tous les emballages non recyclables. D’après leur étude, 45% des déchets d’emballage plastique pourraient ainsi être réduits dans ce secteur d’ici 2040.2

7. Notes et références

1. Equiterre. Réduction des emballages alimentaires. https://legacy.equiterre.org/sites/fichiers/divers/fiche_emballagesalimentaires.pdf

2. Ncube L. K. et al. (2020). Environmental Impact of Food Packaging Materials: A Review of Contemporary Development from Conventional Plastics to Polylactic Acid Based Materials. Materials (Basel) 13(21). https://doi.org/10.3390/ma13214994

3. Oceana Canada. (2023). Oceana Canada Unveils Roadmap to Cut 1/3 of Canada’s Single-Use Plastic Pollution. https://oceana.ca/en/press-releases/oceana-canada-unveils-roadmap-to-cut-1-3-of-canadas-single-use-plastic-pollution/

4. Gouvernement du Canada. (2020). Défi sur le plastique : Emballage des aliments. https://ised-isde.canada.ca/site/solutions-innovatrices-canada/fr/defi-plastique-emballage-aliments

5. Fournier, C. (2016). La vérité sur le “scandale” sanitaire et écologique des emballages alimentaires. https://youmatter.world/fr/emballages-alimentaires-environnement-sante/

6. AR Racking. (2023). Emballage primaire, secondaire et tertiaire. https://www.ar-racking.com/fr/blog/emballage-primaire-secondaire-et-tertiaire-types-et-differences/

7. Leigh, E. (2010). What Aluminum Extraction Really Does to the Environment. https://recyclenation.com/2010/11/aluminum-extraction-recycling-environment/

8. Institut de la statistique du Québec. (2023). Mariages et situation conjugale. https://statistique.quebec.ca/fr/produit/publication/mariages-situation-conjugale-bilan-demographique

9. Blanchette Pelletier, D. Le suremballage amplifié par la réduflation. Radio-Canada. https://ici.radio-canada.ca/info/2023/reduflation/suremballage-produits-aliments-epicerie-environnement-plastique-dechets-gaspillage/

10. Gouvernement du Canada. (2023). Règlement interdisant les plastiques à usage unique. https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/gestion-reduction-dechets/reduire-dechets-plastique/guide-technique-plastique-usage-unique.html

11. Gouvernement du Canada. (2023). Contenu recyclé et règles d’étiquetage des produits en plastique. https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/registre-environnemental-loi-canadienne-protection/contenu-recycle-regles-etiquetage-plastique.html

12. Gouvernement du Canada. (2023). Document de consultation : Avis de planification de la prévention de la pollution pour les emballages primaires en plastique pour les aliments : Cibles pour la réduction, le réemploi, la reconception et le contenu recyclé. https://www.canada.ca/content/dam/eccc/documents/pdf/p2/20230728-01-FR.pdf

13. Gouvernement du Québec. (2023). Stratégie de réduction et de gestion responsable des plastiques au Québec 2024-2029. https://www.environnement.gouv.qc.ca/matieres/strategie-plastique/strategie-plastique-document-consultation.pdf

14. Bendali, N. (2019). Les Québécois pourront apporter leurs contenants réutilisables dans des épiceries. Radio-Canada. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1164460/contenants-reutilisables-metro-iga

15. Equiterre. (2023). Des solutions pour réduire les emballages chez les détaillants en alimentation au Canada. https://www.equiterre.org/fr/ressources/des-solutions-pour-reduire-les-emballages-chez-les-detaillants-en-alimentation-au-canada

16. UQÀM et Éco Entreprises Québec. (2023). Tout déballer. https://toutdeballer.uqam.ca/

17. Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires. (2021)
Loi climat et résilience : l’écologie dans nos vies. https://www.ecologie.gouv.fr/loi-climat-resilience

18. Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires. (2023). Loi anti-gaspillage pour une économie circulaire. https://www.ecologie.gouv.fr/loi-anti-gaspillage-economie-circulaire

19. Patreau, V. et al. (2023). Consumer interest and willingness to pay for in-bulk products with reusable packaging options. Frontiers in Sustainability 4. https://doi.org/10.3389/frsus.2023.1228917

20. De Canio, F. et al. (2021). Enhancing consumers’ pro-environmental purchase intentions. International Journal of Retail & Distribution Management 49 (9). https://doi.org/10.1108/IJRDM-08-2020-0301

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